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Débats


A la recherche d'actions utiles et d'un sens d'équilibre ...

Il est peut être vrai que l'on ne sait pas présenter une idée sans parti pris. Même cela est un jugement.

 

Des faits du passé :

 

1. En juillet 2001, un conteneur de 30 m³ remplis de meubles déménagés des Etats-Unis arrive le matin sur la Place Saint Remacle. Il y reste une journée, pendant que des déménageurs professionnels vide et rentre le contenu.

* Contact avec l' Administration Communale de la Ville de Stavelot à ce sujet : Aucun.

 

2. Le même jour en juillet 2001, une société de déménagement de pianos, installe une nacelle sur la Place Saint Remacle pour monter un piano à queue au premier étage par le balcon et un deuxième piano à queue au deuxième étage. Pendant ces démarches, le balcon est accroché et endommagé avec la nacelle. Les pianos, encore sur palettes et emballés de cages en bois, sont installés dans l'entrée au rez-de chaussée pour leur permettre de se remettre de l'incident.

* Contact avec l' Administration Communale de la Ville de Stavelot à ce sujet : Aucun.

 

3. En novembre 2001, une autre société de déménagement installe leur nacelle sur la Place Saint Remacle pour monter les pianos (voir n°2 ci-dessus), à leur place aux étages dans la maison. L'effort est d'une durée de 4 heures, si on compte les 2 heures après les grands efforts pour boire le café à 7 personnes.

* Contact avec l' Administration Communale de la Ville de Stavelot à ce sujet : Aucun.

 

4. En avril 2002, des tailleurs de pierre, réparent les dommages sur le balcon. Ceci avec une nacelle et un conteneur de 7 m³ installé sur la Place Saint Remacle pendant 3 jours.

* Contact avec l' Administration Communale de la Ville de Stavelot à ce sujet : Aucun.

 

5. En novembre 2003, location chez WC Déchets 2000 à Stavelot d'un conteneur de 12 m³ installé sur la Place Saint Remacle pendant 22 jours pour vider la maison d'anciens trigus et ordures qui dataient d'avant 1918, et avant les fêtes de fin d'année.

* Contact avec l' Administration Communale de la Ville de Stavelot à ce sujet : Aucun.

 

6. En novembre 2006, location d'une nacelle, et son emplacement sur la Place Saint Remacle pendant un week-end. 3 jours de travail pour faire une réparation aux descentes des eaux du toit de la maison et celui du voisin. Ceci occasioné par les traveaux de L'ASBL (aussi faite avec une nacelle) pour installer leur câbles de Télédistribution sur les façades des maisons. Ils avaient un câble à installer qui s'avérait un peu trop court pour arriver à son emplacement. Pour effectuer un raccourci, ils ont découpé un collectionneur en PVC qui sert à rassembler les eaux pluviales de plusieurs conduites de descentes des eaux du toit. Ils ont fait passé leur câble par cette entaille (qui mélangeait bien sûr un cable électrique avec des eaux). Leur entaille de ce jour s'est achevée sur les deux mois suivant, et les eaux de pluie se dispersaient du collectionneur endommagé sur la voie publique d'un côté, et rentraient de l'autre entre les deux maisons par les murs. Trois jours pour remplacer le collectionneur et les descentes d'eaux et bien calfeutrer et rejointoyer le mur mitoyen.

* Contact avec l' Administration Communale de la Ville de Stavelot à ce sujet : Aucun.

 

 

7. En décembre 2007, location d'une nacelle et son emplacement dans la cour d'une ancienne ferme à Houvegné/ Francheville (commune de Stavelot) pour installer des lumières de Noël sur un énorme sapin, devenu sapin de Noël in situ.

* Contact avec l' Administration Communale de la Ville de Stavelot à ce sujet : Aucun.

 

Faits du présent (ou du passé récent) : 

 

8. En juillet 2014, un conteneur de 12 m³ est installé sur la Place Saint Remacle pour accompagner des travaux à domicile. Ceci loué avec l'intention de le garder à cet emplacement pendant environ un mois pour soutenir ces traveaux. Ce conteneur a aussi vu beaucoup d'usage par d'autres citoyens à Stavelot, même sans partager les frais de location, et comme présenté dans cette vidéo le 24 juillet : 

 

 

 

* Contact avec l' Administration Communale de la Ville de Stavelot à ce sujet : Visite du Gardien de la Paix constatateur une semaine après l'emplacement du conteneur sur la Place Saint Remacle. Il avait été attiré par les sacs poubels des citoyens stavelotains qui accompagnaient maintenant le conteneur. Il renseigne pendant sa visite ce jour que l'usage de la voie publique pour le conteneur a besoin d'une demande d'autorisation du Collège communal par écrit. Il corrige l'idée exprimé qu'une tel demande vient du fournisseur du conteneur. Les 7 ou 8 emplacements du passé sont mentionnés par le propriétaire de la maison, et la promesse donnée de se renseigner le jour même pour apprendre comment et à qui faire cette demande.

 

Traveaux abandonnés un petit moment, les renseignements nécessaires fut obtenus dans le bureau Service Population de la Maison de Ville. Là, les renseignements verbaux bien notés ont inclus que pour la demande, qu'il vallait mieux bien la remplir avec tous les détails, et aucun exclu : taille du conteneur, ses dimensions, le contenu déjà présent et proposé, les dates de son emplacement, et tout autres détails non précisé qui pourraient servir à la décision à prendre par le Collège des échevins, une fois la demande venue devant leurs yeux. Le document de demande fut préparé et rendu le même jour : une version courte comme lettre d'introduction, suivi de plusieurs pages de détailes demandés et ces pages placées en annexe si nécessaire pour renseigner les membres du Collège.

 

Réponse par écrit du Collège? : jamais arrivée jusqu'à 4 mois après. Et comment et pouquoi répondre à la présence d'un conteneur qui avait maintenant disparu? En guise de réponse le jour prévu pour le départ du conteneur, le Collège s'est servi de la Police comme messager et héraut de leur pensées sur le sujet. Le message du Directeur de la Maison de Police à Stavelot, Emmanuel Servais présenté par téléphone fut clair. Si le conteneur ne partait pas ce jour, il passerait pour dresser procès verbale. Une visite à la Maison de Ville pour apprendre qui s'occupait de la demande qui restait sans réponse. Celle-ci fut reçue et vite répondue avec : "vous avez eu la visite de la Police. Si votre conteneur ne part pas ce jour, vous aurez un procès verbale." 

J'épargne au lecteur de visionner la vidéo très complète sur ce sujet. Mais en résumé, la première action officiel du Collège de cette ville, après des années de silence sur le même sujet d'emplacement de container et nacelle qui ont servi surtout à l'entretien d'une propriété, était de me promettre d'entreprendre un procès en justice. Et ceci sans aucune réponse ni mise en demeure par écrit : dernier conteneur rangé dans tout les coins concernés.

 

9. En octobre 2014, des eaux pluviales avaient percés la façade en pierres de tailles de la maison (placée en 1870) et maintenant menaçaient de détruire le plafond dans une chambre au deuxième étage. En même temps, le propriétaire s'y attendait à l'arrivée d'un toiturier de Stavelot pour remplacer tout son toit avec un nouveau toit en ardoises. Compris dans le devis et le travail, placer deux échaffaudages (à l'avant et à l'arrière de la maison)  pour protéger ses ouvriers d'une chute de 12 à 15 mètres dans le cas où ils perdaient les pieds en travaillant sur le toit.

Le 15 octobre l'entrepreneur s'est présenté pour la 4ème fois, pour annoncer une mauvaise nouvelle : ses ouvriers étaient à l'instant plâtrés (problèmes médicaux? accidents? excès de plâtre au travail avec chute dans un grand seau de maçon ? ... pas plus d'explication donnée). Ceci ce traduisait en en délai de jusqu'après l'hiver pour commencer à installer la nouvelle toiture.

 

Ceci se traduisait aussi en pas d'échaffaudage pour s'en servir pour réparer les joints dans la façade. Donc, les eaux et les gelées à anticiper cet hiver risquaient avec certitude d'achever la destruction d'un magnifique plafond du 19ème siècle. Pas possible! La décision à prendre fut clair et facile : essayer de vite louer une nacelle pour ce week-end (une location payée les week-ends à trois jours pour le prix d'un),  acheter son matériel et rassembler ses outils, et en avant. Vu la leçon apprise du dernier des quatre conteneurs précédent, une demande d'autorisation semblait en ordre. Cette demande préparée, elle fut livrée à 13h30 dans la boîte aux lettres de la Commune, avec pas d'autres choix vu les portes fermées à la Maison de Ville. Inclus dans le plan était d'aller trouver quelqu'un au premier moment quand les administrateurs seraient de nouveau à leurs bureaux pour présenter l'importance de la situation.

La Place Saint Remacle était  vide de voitures stationnées devant la maison concernée. Des piquets en bois liés par des bandes de stationnement blanc et rouge, ont été placés pour réserver la place pour une nacelle de 15 mètres, vite réservées par téléphone et qui allait être livrée dans quelques heures, à fin de journée. Surtout, la météo prévue pour lé week-end était très prometteuse : 28 degrés et sec. Parfait. Le plafond serait sauvé de plus d'endommagement cette hiver (complètement inutile de penser à le réparer, si les eaux rentraient encore). On était le 17 octobre.

 

Cette fois j'ai pas dû attendre très longtemps pour une réponse à ma demande envoyée vers le Collège communal de Stavelot.

La voici, la réponse officielle présentée dans une petite vidéo presque aussi bref que la réponse actuelle.

 

 

 Que peut-on dire à propos de cette vidéo?

  • elle présente certainement un sentiment cholérique et d'amértume provenant des faits qui ne répondaient en aucune façon aux besoins.
  • les faits sont indéniables
  • les images des personnes présentées prisent de sources publiques, apparaissent ici sans leur permission. Notre site attend avec porte ouvertes toutes instructions, restrictions ou préférences qu'ils peuvent avoir dans ce domaine.
  • il faut savoir que les faits représentés, plus que les images spécifiques de cette vidéo, ont déjà  occasionné beaucoup de réflections, réponses et suggestions.

 

Prenez une seconde pour explorer vos réactions et de décider ce que vous en pensez de ces faits.

 

Mais sachez aussi que vous ne disposez pas encore de tous les faits, mais que vous les aurez très vite ci-dessous.

 

Donc, même que d'autres nacelles avaient précédé celle qui n'est, finalement, jamais arrivée, l'absence de réponse auparavant, semble maintenant d'être devenue une réponse policière, sans réponse par écrit. C'est bon à savoir, même si une réponse tracassante, pour tous les travaux que l'on pourrait anticiper dans l'avenir.

 

Plus de faits :

 

Les ordonnances (l'O.A.P.G). qui guident le comportement d'un citoyen à Stavelot, ont déjà été présentées sur ce site. Non seulement un lien vers le document complet y est, mais une sélection de mes favoris des Articles qui le constituent.   

Dans le cas présent, voici des Articles apparentés :

 

Art.7.1 - Sauf de permis de stationnement livré - pas d'utilisation privative sur la voie publique..jpg
Article 7.2 - part 1.jpg
Article 7.2 - part 2.jpg

 

Un point d'arret ...

Les Articles précédents ne laisse aucun doute que placer conteneur, nacelle, piquet et bande de signalisation, ou même une tasse de thé vert ("...autres dépôts quelconques") sur la voie publique sans permis délivré par le Bourgmestre et/ ou Collège sera mal vu.

 

Si on compte un total de 9 "essais" depuis 2001, 7 fois, la Ville de Stavelot n'a présenté aucune réponse à l'emplacement de conteneurs et/ ou nacelles. Cela ce traduit en une réponse, et par n'importe quelle méthode, de 2 fois sur 9 essais. Si on présume que chaque emplacement de nacelle ou conteneurs et réponse du Collège sont indépendent des autres, nous avons une réponse dans 22,2% des cas. Bien sûr, si un citoyen est assez fou pour placer un conteneur 100 fois sur la Place Saint Remacle, chaque essai et réponse ne se fera plus d'une manière indépendante. Les yeux du Collège seront grands ouverts (sauf si le lundi du Laetare). Et la 101ème fois la réponse risque de se faire en même temps que l'arrivée du conteneur, si pas avant.

Le juge à qui j'ai eu l'occasion d'en parler m'a expliquer que l'absence de réponse au crime dans 7 occasions précédentes, ne peut pas servir comme promesse de non-réponse la 8ème fois. Sinon, les criminels seraient très heureux et vivraient des vies rassurés. In scelere par est, nee minus delinquere. Le crime sans réponse n'est pas moins un crime.

 

Mais un esprit criminel serait intéressé par la réponse à la question: "Quelles sont les chances de s'évader à un crime une neuviième fois, si je l'ai échappé sept fois avant, sur huit essais?" 

 

Le statisticien répondra facilement que 77,8% du temps qu'il place sa nacelle, il aura aucune réponse du Collège à Stavelot. Il ajoutera que ce chiffre tiendra bon seulement si chaque emplacement est indépendent des autres, car si le criminel attire l'attention du Collège avec sa prochaine nacelle, un lien se fera vite entre chaque essai et le calcul devient plus compliqué. Le statisticien reste là. Il est avide que l'occasion se présente, et grâce à cette occasion, de montrer ses connaissances de la probabilité des faits pendents, et de là son talent mathématique et de là son contrôle absolu du desstin des hommes.

 

Le criminel est encore en train de repenser ses 78% de chances de succès en tripotant les touches de son téléphone pour trouver le numéro de son fournisseur de nacelles.

Laissons le criminel avant que sa décision est prise à sa table de roulette, et essayons de progresser.

 

Quelle réponse est demandé à Stavelot à ce crime d'une personne en train de s'approvisionner d'un morceau de la voie publique ? ...

 

Là aussi, la conduite de la réponse est étroitement définie par les Ordonnances :

 

'après avertissement écrit'.jpg
Après mise en  demeure.jpg

8.1... après avertissement par écrit ... ou s'il y a urgence avérée ..., 195.1 après mise en demeure ...

 

Mais il n'a jamais eu "d'avertissement par écrit," ni de "mise en demeurre." 

 

On peut déjà facilement imaginer un argument que des piquets en bois ou une nacelle qui occupe une partie de la voie publique "avère urgence," et que cette urgence satisfait sans d'autre explication la raison pour procéder "à l'enlèvement d'office de tout objet." 

 

Equilibre ...

Le problème urgent n'est pas à ce jour résolut. Les eaux pluviales entre par la façade, et le beau plafond du 19ème devient de plus en plus laid. Les actions du 17 octobre n'ont rien fait pour résoudre ces problèmes. Il semblerais que le suivi va demander une troisième demande d'autorisation. Avant de la composer et de commander encore une fois une nacelle,  et donc, avent d'avoir réceptionné une réponse du Collège communal, comment s'y prendre? Pourquoi pas se servir de la "Boîte à question" sur le site de la Ville de Stavelot? Pourquoi pas s'en servir pour apprendre ce que l'on ne sait pas encore : Avec quel délais peut'on s'y attendre à une demande d'autorisation par le Collège échevinal? Comment planifier la location d'une nacelle pour des jours spécifiques, sans savoir la réponse à cette question?  

Ayant trouvé aucune réponse à cette question simple et directe sur le site web de la Ville de Stavelot, ni dans les Articles de l'Ordonnance, j'ai décidé d'utiliser la"Boîte à question" pour la poser.  (dans ce qui suit, si difficile à lire, cliquez sur l'image pour l'agrandir) :

 

Ma question dans la boîte à question.jpg

 

 

Et la réponse c'est présentée le lendemain par courriel ...

 

Jacques Remy-Paquay le 4 nov 2014 -boîte à question.jpg

Voici ma réponse à ce courriel : 

 

le 4 novembre 2014

Bonjour M. Remy-Paquay, et à tous ceux automatiquement inclus pour ce courriel,

 

En fait, ma question ne "fait allusion" à rien.

Ma question, que vous pouvez relire si besoin, demandait un renseignement que j'ai pas su trouver sur le site web de la Ville de Stavelot : Ni sur la page avec les photos du Collège, ni ailleurs. Christiane, avec ses plus de 40 ans d'emploi à la Ville, pensait que les réunions du Collège se faisait le mercredi. Les choses peuvent changer et évoluer : je me permets de l'espérer. D'un autre côté, pour citer Shakespeare dans The Tempest, "What is Past is Prologue." (Ce qui est passé est un prologue). Donc, pour éviter de revivre le passé, ma question était à la recherche d'un simple renseignement, et à laquelle vous avez il me semble répondu.

Je me suis permis d'extraire à partir de votre réponse les faits qui suivent :
"... la demande au plus tard le lundi 6 octobre."
"... Le Collège ... traiter en séance du mardi 14 octobre ..."
"et t'aurait répondu le jour même par courriel."

Donc, à Stavelot :
1. Une demande est présentée par le demandeur, à un minimum huit (14 - 6 = 8) jours avant le prochain mardi. Ceci constitue "dans des délais raisonnables."
2. Le Collège répond à la demande "le jour même par courriel," ce qui fait 0 jours "de retard ou délai" pour citer une partie de ma question.

Pourriez-vous me confirmer ou infirmer que j'ai bien extrait de vos renseignements, les bonnes conclusions ?

Si j'ai bien compris ces limites temporelles, et ceci dans l'esprit de ma question, mettre de tels renseignements sur le site de la Ville de Stavelot avec un lien facile à trouver, pourrait être utile pour d'autres personnes, mais cela ne me concerne pas au moindre.

Ma question n'a pas mentionnée de nacelle.

Mais puisque vous avez introduit ce sujet je continue.

Ma demande d'autorisation était faite à la date choisie, en fonction de l'urgence qui entourrait les circomstances ce jour et qui n'ont pas à présent été remédiés, ni devenus moins urgent : même si certainement accompagnées de plus en plus de tâches administratives. Présenter cette demande un vendredi à 13 heures chez vous était certainement moins pratique pour les personnes concernées pour y répondre, et qui est dommage. Certainement, trouver une porte ouverte, surtout cet après-midi du vendredi 17 octobre, aurait augmenté mes chances de présenter ma demande en personne : ainsi va le hasard.

Les actions et mesures prises à Stavelot le jour même de ma demande, une demande faite par écrit comme j'ai pu la faire en urgence ce jour quand la Maison de Ville était déjà close, ont été reçus par moi et d'autres personnes comme une partie de la réponse à ma demande. J'ajouterait votre e-mail présent comme une autre partie de la réponse, comme preuve aussi de réception par le Collège de ma demande, et par la présente une réponse par écrit de la Ville de Stavelot à ma demande présentée au Collège il y à maintenant 18 jours.

Merci pour la réponse rapide à ma question placée hier dans la "Boîte à questions" sur votre site.

Cordialement,

 

William O'Neill
appelé "Billy" à Stavelot

 

Et que dire de ce va et vient litéraire ?

 

  • Qu'il n'a pas encore ajouté une goutte de mortier à la réparation des trous dans la façade.
  • Qu'il invite comme dans un débat politique de ce trouver avec deux camps, et non avec une équipe unies pour le succès face à une tâche. Ceci soutien un style qui devient un exercice d'attaque ou de défense.
  • Qu'il invite les spectateurs à ce débat de se placer du côté d'un camp ou de l'autre.
  • Qu'il apporte à de mauvaises habitudes relationnelles : Le mécontentement, blâmer, se plaindre, l'apitoiement sur soi ne peut pas servir de base pour un bon avenir, peu importe la quantité d'efforts investis dans ces comportements.
  • Mais il renseigne, et qui est bon à savoir avant de commander équipement, outillage et matériel, que une demande doit se faire d'une façon spécifique, dans des limites spécifiques pour présenter une demande d'autorisation et attendre la réponse.

 

Nous sommes presque à la fin de cette déclaration complète. Tant mieux.

 

"Et comment va le plafond du 19ème ?"

Réponse : "Pas mieux." depuis le refus du 17 octobre, (et on est le 10 novembre lors de cette édition) aux infiltrations des eaux avec chaque intempéries (assez souvent à Stavelot) s'ajoute maintenant depuis 3 semaines une belle production de champignons. Vous pouvez les apprécier dans la galerie qui suit d'une façon de près et personnelle :

 

 

Bien sur le contrôle des champignons n'échappe pas aux ordonnances stavelotaines ... à l'Article 73.4 vous pouvez lire :

 

Article 73.4 - champignons.jpg

Donc, ajoutons ou risques pour retrouver son plafond par terre, et qui s'effectue déjà, le risque à la santé (aspergillose pulmonaire par exemple) pour le propriétaire et ces voisins. "Seront punis ..." Oui, ça avance bien ces travaux. Mon grand-père stavelotain (et d'une famille stavelotaine depuis 1142 disent les registres des moines), serait furieux de voir l'état de ce plafond dans sa maison. Mais plus que cela, un problème non résolu engendre d'autres problèmes

 

Mais le moins que l'on peut dire est que les ordonnances sont appliquées de manière cohérente et avec équanimité à tous les citoyens. Ou pas?

 

Dans le cas présent ce n'est pas certains, comme on peut le constater par ces exemples rapidement rassemblés et recueillis :

 

 

  • Comment comprendre la différence de réponse entre les années 2001 à 2007, et maintenant?
  • Aucune réponse pour la nacelle à Houvegné. Cela veut dire que dans les bois "faites comme vous voulez," mais pas sur la Place Saint Remacle où vos actions sont devant le nez communal, rien ne passe inaperçu. Ou, que tous le monde aiment Noël et ses lumières. Passons.
  • Les piquets et bandeaux enlevés par la police sont les mêmes qui servent pour le voisin mitoyen qui tient café dans sa maison. Deux jours avant le Laetare il place les piquets et les bandes pour bloquer et réserver la place devant sont café. Deux jours. Et ceci pour accueillir le camion de bière de "poulet" (Colin et fils) et sa livraison pour soutenir l'effort d'appaiser la soife Laetaresque des citoyens.  Personne, y compris la présente, ne se plaint du blocage. En parlant au Camion de Poulet (Colin et fils).jpg
    propriétaire j'ai posé la question : "Vous faites votre demande d'autorisation par écrit pour placer vos piquets, combien de jours avant de les placer?" Réponse : "Je ne fait jamais de demande d'autorisation. Mais ils prennent 10% en taxe sur mes recettes. Donc, pas besoin." Oho.
  • Devant la Maison de Ville l'autre jour était placée une nacelle. Les pieds de la nacelle étaient étalés sur la voie publique et plusieurs voitures, qui ne savaient pas passer et constituaient un petit blokus, ont finalement abandonnés pour faire marche-arrière et choisir un autre parcour. Les ouvriers associés à la machine ont su répondre à ma question. C'était une nacelle de la Commune, et donc, pas d'autoristion réquise pour la sortir, la placer, et s'en servir. La voie publique aurait été certainement moins compromis avec celle que j'avais commandé pour le 17 octobre. Mais ce serait absurde de demander à la Commune de faire une demande d'autorisation pour placer sa nacelle devant l'Hôtel de Ville de la Commune. Non? Et quelle différence avec mon cas? Quoi d'autre à besoin d'être contrôlé par les Echevins pour ces instruments?

 

  •  Un dernier exemple dans ce cauchemar nacellesque ...
  • Devant un des cafés sur l'esplanade, un peintre travaille pendant 3 jours avec une ... nacelle.
  • Il me renseigne très gentiment y compris de m'offirir la carte de son chef.
  • Je téléphone à la tête de cette société, qui écoute poliment mes contes cauchemardesques, mais répond aussi à ma question : "Combien de jours avant l'emplacement de votre nacelle ici à Stavelot, avez vous envoyé votre demande d'autorisation?"
  • Il a répondu ainsi : "Etes-vous assis? Je vous réponds que je n'ai jamais envoyé une demande d'autorisation pour ma nacelle qui travaille à présent à Stavelot." J'avais une dernière question ... "Et aucune visite des forces de la loi?" Sa réponse : "Non, aucune."
  • Oho. Bi'n tu pôu dîr !

 


 

Que faire de tout ceci ?

 

Je crois qu'il faut un peu lâcher prise de cette situation pour y voir plus clair. 

 

Le travail demande encore d'être fait. Ceci avant le refroidissement du temps car les matériaux de réparation prévus sont non seulement chers mais non compatible avec un emplacement fait à moins de 10 degrés.

J'ai déjà entendu plusieurs suggestions en réponse à la question "...que faire?"

 

Mon grand-père aurais répondu sans hésitation, et en bon wallon d'Stav'leu :

"Sint nom di 'dju! Bin tu va veye! Totes ces diskussyons c'es stron sô onk, èt hite sô l'ôte. Prind bi'n tes ustèyes è vos mîns, nu dî pu rîn, et nos irans ovrîs.

E si qu'es nin contin, qu'il rujowe. E tos ces d'gîns là polet bi'n loukîs à nin s'mêt duvans mi, sîs. Sint nom di 'dju! Crapûls! Charôgns!"

 

Le mieux à Stavelot, si vous avez une réparation à faire comme celle-ci en urgence, est de faire ainsi :

  • calmez-vous : presque rien est vraiment urgent à Stavelot.
  • choisir une date dans un mois pour faire l'urgente réparation, est avec une certitude pour la durée de ces réparations, basé sur ce que vous êtes certain de trouver pendant ces réparations, même si avant de les avoir commencé.
  • trouver un fournisseur de nacelle qui sait la fournir entre ces dates limites de réparations, mais avec beaucoup de souplesse pour des circonstances imprévues.
  • introduire la demande d'autorisation à l'instant même, qui veut dire minimum 8 jours avant le prochain mardi. L'introduire 3 ou 4 semaines avant serait même mieux.
  • si vous n'avez rien entendu en guise de réponse le jour avant l'arrivé prévue de la nacelle, servez vous de la "Boîte à question" sur le site web de la Ville pour lancer un rappel à votre demande.
  • si tout dans votre planning foire et tombes à l'eau, allez au café prendre quelques bons verres avec d'autres enfoirrés, "pô bûr onk," et tout oublier.

 

Hors de ce désordre, une occasion ?

 

  • pourquoi l'autorisation d'un emplacement temporaire d'une nacelle demande les réflections de 7 têtes différentes du Collège communale?
  • pourquoi pas charger une personne pour réceptionner une telle demande, avec une réponse rapide et donnée basée sur des limites pre-définies?
  • puisque les heures d'ouvertures de la Maison de Ville sont de 24.5 heures sur une semaine de cinq jours pour une tel demande, que faire pour une demande hors de ces heures? Pourquoi pas une personne de garde avec l'autorisation de recevoir et décider d'une tel demande? Ces décisions prise en urgence seraient encore disponibles au Collège pour une revue le prochain mardi.
  • Le délai avant une réponse du Collège de minimum 8 jours est atypique des communes avoisinantes (E.g., deux jours à Verviers; un jour à Spa). Pourquoi pas s'y prendre pour faire même mieux qu'eux?
  • D'où vient le préjugé qui applique l'Article d'une ordonnance dans un cas, mais pas dans un autre, et comment faire pour éliminer de tels préjugés?
  • Les numéros d'appel en cas d'urgence sont présentés sur le site de la ville d'une façon intéressante. Le message est presque, "Si vous n'êtes pas à peu près au moment de la mort, votre appel n'est pas assez urgent. Raccrochez maintenant, ou après le bip." Ayant vécu à peu près 20 ans disponible jour et nuit aux appels de mes patients, j'ai appris que cela n'était pas toujours remplis de plaisir, mais je n'aurais pas voulu qu'il en soit autrement. La leçon pour les soins du citoyen pourrait s'en rapprocher d'un peu il me semble. Mais cela est un jugement.

Il manque un numéro URGENT à Stavelot.jpg

 


10/11/2014
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