Rue Haute
Cette fois, des vitres cassées
Nous sommes aujourd’hui le 31 décembre 2023.
Et tandis que la plupart des lecteurs devraient être occupés à se préparer à dire « Au revoir ! à un an, et accueillant le suivant, me voici.
Je vous arrête un instant pour vous demander de lire mes lamentations sur les problèmes liés à une propriété, et infligés par des agents externes. Et si pas encore vécu, voici mes pleurnicheries d’hier.
Y aura-t-il une leçon utile à en tirer ? C'est à vous de décider.
Cela me fait penser à « The Rime of the Ancient Mariner » de Samuel Taylor Coleridge, qui s’ouvre :
"It is an ancient mariner
And he stoppeth one of three.
--"By thy long grey beard and glittering eye,
Now wherefore stoppest thou me?"
«C'est un ancien marin
Et il en arrête un sur trois.
--"Par ta longue barbe grise et ton œil scintillant,
Maintenant, pourquoi m’arrêtes-tu ?
Le 'Mariner' force un invité à un mariage à écouter son récit de malheur.
C’est une histoire sur le préjudice causé par ses actes et sur la manière de payer pour un tel préjudice. Une forme de confession.
Mais une citation du passé plus pertinente est celle de Louis Pasteur.
Lors d'une conférence en 1854 à l'Université de Lille, ce microbiologiste et chimiste français a déclaré :
Dans le cas d’une destruction apparemment gratuite de ses biens, on se retrouve soudainement confronté à des choix qui peuvent guider l’action ultérieure.
On peut :
- simplement s'énerver, sans d'autre action prise
- communiquer avec la ou les sources de destruction pour essayer de trouver une solution
- décidez que d'autres que vous sont mieux formés et mieux placés pour répondre, et demander leur aide
- reculez et ne rien faire, car « celui qui combat et s’enfuit vivra pour se battre un autre jour ». (30e Division d'infanterie, décembre 1944 - Stavelot : "He who fights and runs away, will live to fight another day.")
- réagir de manière agressive à ce qui semble être une attaque personnelle.
- pas se fâcher mais au lieu de cela, calmement préparer sa vengeance.
- un mélange de ce qui précède
Mais les conseils passés de Pasteur commencent par la suggestion que l’action juste découle d’une observation objective.
Ce faisant, on « prépare son esprit » à permettre une vision plus claire, et à capturer la réalité telle qu’elle se déroule actuellement devant nous.
Avant d’en arriver au point où on y accorde ici trop d’importance, rappelons-nous :
- Il ne s’agit PAS de faire des observations qui mèneront à la découverte et à l’utilisation éventuelles de la pénicilline, sauvant ainsi des vies humaines. (Tout cela a déjà été fait).
- Il s’agit plutôt de faire des observations sur les intrusions et la destruction gratuite de ses biens par un ou plusieurs autres agents.
Cette dernière, contrairement à la première, aura moins d’impact sur l’humanité.
Du moins c’est ce que l’on pourrait deviner au départ.
Voici comment j’ai enregistré mes observations :
- avec une base de données qui capture les informations de base critiques. Enregistrer les dates et heures des événements par exemple, ainsi que la ou les réponses des agents impliqués à ce moment-là, ainsi que le moment où ils ont eu lieu.
- cela sert à maintenir le champ de vision juste assez loin pour que ce qui se passe, puisse être reconnu et codifié avec précision. Une vue panoramique pour commencer, au lieu d’une vue au microscope pour voir les détails.
- on apprend qu'il y a généralement plus de choses à observer en même temps, pas seulment une, mais plutôt plusieurs choses à la fois. Nous avons besoin d’une méthode inclusive et non exclusive : du moins pour commencer. On peut triller après.
Comme une photographie non retouchée, car « une image vaut mille mots ».
Certains trouveront l’approche de Pasteur peu pratique et très probablement chronophage alors que d’autres tâches attendent.
Un peu comme lire cet article: très chronophage.
Néanmoins, j’ai choisi cette méthode pour capturer les découvertes, une fois qu’il est devenu évident que plus d’un seul événement de destruction gratuite pourrait éventuellement se produire, et lié à ces travaux sans Permis d'Urbanisme.
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Et après cette longue introduction, ci-dessous un exemple plus condensé, tiré de la base de données.
Permettez-moi de vous faciliter la tâche, afin que vous ne vous perdiez pas dans les observations notées et détaillées (dont l'image ci-dessus n'en capture que quelques-unes).
Alors que l'on travaillait sur la propriété de mon voisin, plusieurs de mes vitres ont été brisées.
De plus, de la mousse de polyuréthane était éclaboussée partout. (Il est difficile de l’enlever une fois séchée. Vous ne pouvez pas le laver. Vous devez le gratter ou le couper.)
J'accepte que lors d'un tel travail, des accidents puissent survenir.
Je pense qu'une approche appropriée à l'époque du 13 octobre 2023 aurait été la suivante :
- informer le propriétaire que son bien a été endommagé.
- rencontrer le propriétaire sur place pour constater le niveau des dégâts.
- accepter et prendre les dispositions nécessaires pour payer au propriétaire les dommages subis.
- réparer les dommages ou faire réparer les dommages par quelqu'un d'autre.
- tenir sa promesse de payer les dommages, en demandant au moins une copie de la facture.
En termes simples, rien de ce qui précède ne s'est produit.
- Ainsi, avec l'air froid et la pluie entrant par mes fenêtres cassées, et compte tenu des performances passées des personnes impliquées, j'ai fait réparer mes fenêtres le jour même où je les ai trouvées cassées.
Ceux qui ont réalisé les travaux sur mes fenêtres ont été très réactifs, ont plutôt bien fait les réparations, et je les remercie encore une fois ici comme je l'ai fait ce jour-là.
- J'ai payé les réparations le jour où leur facture est arrivée dans ma boîte aux lettres. (Aucune offre à ce jour pour rembourser mes pertes de la part du voisin).
- silence radio depuis la date de cet événement.
Encore une fois, il ne s’agit pas d’une attaque nucléaire.
Ce sont quelques vitres cassées et éclaboussées de plastique sur un chantier, lors du démontage d’un échafaudage, et tout cela sous les yeux des voisins.
Puisque rien de ces résultats malheureux et indésirables ne m’a été communiqué, je pouvais supposer qu’un ou plusieurs individus espéraient simplement s’en sortir en silence.
Il y aura d'autres exemples. Et certains, beaucoup plus important pour ma propriété et la sécurité des propriétés voisines, que l'exemple présenté ici.
Comment auriez-vous réagi dans la même situation ?
Quelle action auriez-vous entreprise face à l’absence totale de réponse efficace de la part de toutes les personnes impliquées ?
Seriez-vous surpris ou déçu de découvrir un voisin que vous connaissez depuis des années, sombrer dans le silence, sans assumer la responsabilité de problèmes évidents liés à ses activités ?
Comme une mouffette se glissant, vers les sous-bois obscurs.
-------- pour ceux qui lisent en anglais --- English version below --------
Today is 31 December, 2023.
And while most readers should be busy with preparations for saying “Goodbye!” to one year, and welcoming the next, here I am.
Stopping you for a moment to ask that you read my laments about problems with a property, and inflicted by external agents.
Will there be a useful lesson to extract from this? You will have to decide that.
It makes me think of Samuel Taylor Coleridge’s “The Rime of the Ancient Mariner”, which opens:
‘It is an ancient mariner
And he stoppeth one of three.
--"By thy long grey beard and glittering eye,
Now wherefore stoppest thou me?’
The Mariner forces a wedding guest to listen to his tale of woe.
It’s a tale about harm that came from his actions, and how to pay for such harm.
But a more applicable quote from the past is that of Louis Pasteur.
During an 1854 lecture at the University of Lille, French microbiologist and chemist Louis Pasteur said, “In the fields of observation chance favors only the prepared mind.”
In the matter of the seemingly wanton destruction of one’s property, one finds oneself suddenly faced with choices that may guide subsequent action.
One can :
- simply get upset
- communicate with the source(s) of destruction to try to work something out
- decide that others than yourself are better trained and positioned to respond and ask for their help
- retreat and do nothing, since “he who fights and runs away, will live to fight another day.” (30th Infantry Division, December, 1944 - Stavelot)
- lash out aggressively in response to what seems a personal attack.
- don’t get mad: get even.
- some blend of the above
But Pasteur’s advice from the past, begins with the suggestion that right action follows from objective observation. In so doing, one “prepares one’s mind” to allow clearer vision, and capture reality as it actually unfolds before you.
Before I get to a point where this gets too much importance placed on it, let’s remind ourselves:
This is NOT about making observations that lead to the eventual discovery and use of Penicillin, saving human lives.
Instead, it is about making observations on tresspass and wanton destruction of one’s property by another agent or agents. The latter, unlike the first, will have less impact on humanity, or so one would guess at the outset.
Here’s how I recorded observations:
- with a database that captures critical basic information. Recording dates and times of events for example, and response(s) from the agents involved at that time, and as these took place.
- this serves to back up one’s one’s field of view just far enough, that what happens can be accurately recognized and codified. A panoramic view to begin with, instead of a view with a microscope to see details.
- one learns that there are usually more than single things to be observed at the same time, but instead, several things at once. We need a method that is inclusive of all, and not exclusive: At least to begin with. Like an unretouched photograph, since “a picture is worth a thousand words.”
Some will find Pasteur’s approach impractical, and most probably time consuming when other tasks are waiting. Like reading this post.
Nevertheless, I elected such a method to capture findings, once it became manifest that more than a single event of wanton destruction might possibly occur.
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And after that lenghty introduction, here’s a more condensed example from the database.
(see database image above) ...
Let me make this easy for you, so you don’t get lost in the noted and detailed observations (of which the above image only captures a few).
While working on my neighbor’s property, several of my window panes were broken. Also, polyurethane foam was splashed everywhere. (It’s hard to remove once dried. You can’t wash it off. You have to scratch or cut it off.)
I accept that when doing such work, accidents can happen.
I think that an appropraite approach at the time on 13 October, 2023, would have been this:
- inform the owner that his property has been damaged.
- meet with the owner on site to survey the amount of damage.
- agree to and arrange to pay the owner for the damage incurred.
- repair the damages or have the damages repaired by someone else.
- keep good on the promise to pay for damages, while at least asking for a copy of the bill.
Well simply put, none of the above happened.
- So with cold air and rain coming in through my broken windows, and given past performance of those involved, I arranged to have my windows repaired the same day that I found them broken. Those who did the work were quite responsive, did the repairs quite well, and I thank then here once again as I did on that day.
- I paid for the repairs the day their bill arrived in my letter box. (No offers to date to reimburse my losses from the neighbor).
- radio silence since the date of this event.
Again, this is not a nuclear attack.
It’s a few windows broken and splashed with plastic on a construction site, while dismantling a scaffolding, and all of this as witnessed by neighbors.
Since nothing about these unfortunate and undesired results was communicated to me, I could assume that one or more individuals were simply hoping to get away with it.
There will be other examples.
How would you have behaved in the same situation?
What action would you have taken, given the totally absent effective response from all those involved ?
Would you be at all surprised or disappointed to discover a neighbor that you have known for years, sliding away into silence, without taking responsibility for obvious problems related to his activities ?
Like a skunk into the dark underbrush.
Pouvez-vous le croire ?
Le dernier article précédent datait d’octobre 2018!
Et aujourd’hui, 30 décembre 2023, (1 890 jours) la même merde continue.
Dernière suite de la Police de Stavelot sur cette plainte enregistrée en 2018 ?
«Le dossier suit son cours.»
Toutes ces intrusions et infractions appartiennent désormais très certainement au passé (bien qu’elles ne soient en aucun cas oubliées).
Certes, les choses qui étaient mauvaises en 2018 n’ont fait qu’empirer.
Ci-dessous, une photo déjà publiée en 2018 montre une moto et un pot à lait en plastique rempli d'essence, garés sur ma propriété sans mon accord.
Qu’avait à dire à ce moment-là le propriétaire de la maison voisine ?
"Je ne comprends pas? Ce sont les enfants d’une famille très distinguée de Stavelot.
Ce que j’ai répondu à l’époque, c’était : « Si l’essence prend feu, ma maison, votre maison et la plupart des habitations du quartier brûleront entièrement, avec ou sans leurs habitants. »
On peut aussi facilement voir sur cette photo, que la largeur de ma ruelle était 25 cm plus large qu'elle ne l'est après les "réparations" à côté.
La merde: Ça arrive.
Est-il encore possible de développer et d’encourager une action locale unifiée ?
Ou est-ce bien mort maintenant, ce sens personnel de responsabilité qui conduit à une action correcte?
Ce qui reste semble être: "chacun sa merde".
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Avance rapide de 1 890 jours, jusqu’au présent...
C'est assez simple. Voici quelques points saillants :
1. Cette ruelle est ma propriété. Je paie des impôts dessus chaque année. La Ville de Stavelot vient de recevoir en plus, mon paiement de sa Taxe Punitive de 3 240€, qui s'ajoute au Précompte Immobilier déjà payé. Je vais essayer d'aller tuer quelques cerfs dans les bois (comme la Ville a voté) pour joindre les deux bouts. (500€ par tête de cerf. Armez-vous).
Ils ont constaté que l'arrière de ma maison (c'est la sortie) était inoccupé, donc imposable. J'ai écrit une réponse (envoyée avec mon paiement au Maire) mais toujours pas de réponse à ma lettre. Plus d’informations à ce sujet dans un autre article.
2. La porte à l'entrée de ma ruelle a été arrachée et jetée. Je suppose "jetée."
Elle n'est certainement plus à sa place où je pourrais le fermer et le verrouiller. Jetée, je suppose. Certainement pas remplacée. Il n'est plus possible de fermer ma propriété au public depuis plusieurs mois, et jusqu'au moment où j'écris ces lignes.
Qui a bien pu faire ça ? Je ne sais pas. Peut-être un locataire, peut-être les personnes qui travaillent dans la maison voisine. Ces travaux ont été réalisés sans permis d’urbanisme, mais la Ville ne semble pas s’en soucier. Je laisserai tout ce que ces travaux ont détruit sur ma propriété pour un autre article ou deux. Cela prendra plusieurs articles, alors passez-y de temps en temps.
3. J'ai appelé pour me faire livrer du mazout. Le camion est arrivé, mais le conducteur n’a pas pu accéder au tuyau de la citerne à mazout. Ceci, car la ruelle de ma propriété est une fois de plus remplie de poubelles, de vieux pneus, de vélos et d'autres détritus. (Voir la galerie d'images ci-dessus du 30-12-23) Le livreur a refusé de déplacer tous les déchets, ce que je pensais être un choix correct, vu les obstacles.
Pas de livraison de fioul. Pas de chaleur. Nous ne sommes toujours pas en février, le mois le plus froid à Stavelot depuis 20 ans.
Et avant d'oublier : Bonne Année une fois arrivée, et restez au chaud.
Et certainement plus chaud que chez moi.
4. Ce n’est pas à moi de dire aux locataires d’un voisin, comment se comporter. Je pense que ce problème appartient au propriétaire. Les tentatives pour discuter des récents dommages avec cette personne se révèlent de plus en plus vaines. Aucune mesure utile prise. Aucune autre réponse. Silence radio à ce jour.
5. On pourrait simplement dire que son comportement est calqué sur celui des fonctionnaires du gouvernement municipal. Un très bel exemple de mise en pratique des principes directeurs du gouvernement local. Ce que certains membres de ma famille appelaient ici dans le temps,
"la mesquinerie Stavelotaine". D'autres répondraient en wallon : « Ne tombez pas dans un nid de Wetz.
6. Pour ceux d’entre vous qui savent très bien qui est impliqué, pourriez-vous l’encourager à se comporter de manière un peu plus responsable ? Pourriez-vous également lui faire savoir que ce n'est pas la fin de cette histoire, puisque ses réponses à mes efforts de sensibilisation ont été aléatoires ?
7. La plupart disent : « Allez simplement à la police ! »
Oui, je l'ai fait dans le passé. Malheureusement, aujourd'hui c'est samedi. Le Bureau de Police fermé à Stavelot, fermé à Malmedy, et après tout, ce n’est pas une urgence tant que la météo et le prix proposé pour le fioul ne changent pas trop. J'essaierai de mémoriser les jours et les heures où la Police se met à la disposition du public, et comme présentées ci-dessus.
Clairement, ce n'est pas Verviers, Liège ou Bruxelles. Clairement, ce n’est pas une petite ville un peu plus à l’Est d’où je me trouve.
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Merci, cher lecteur, pour votre attention.
Y a-t-il une bonne nouvelle dans cette histoire ?
Évidemment.
Les réparations non approuvées par la Ville et effectuées par mon voisin ont maintenant suffisamment empiété sur ma propriété qu'il est devenu impossible de placer une moto dans ma ruelle comme en 2018 par les locataires "d'une bonne famille Stavelotaine".
C'est trop étroit pour ça.
(Ou encore, pour passer avec ma charrette chargée de bois de chauffage.
Passe plus ...).
Restez à l'écoute.
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For those who prefer English ...
Can you believe it?
The last preceding article was in October of 2018.
And today, 30 December, 2023, the same shit continues.
Last follow-up from the Police in Stavelot on this complaint registered in 2018? “Le dossier suit son cours.”
All those tresspasses and infractions are now most certainly a thing of the past (though not forgotten by any means).
Certainly, things that were bad in 2018, have only gotten worse.
Here, a picture already published in 2018 shows a motorcycle and a milk jug filled with gasoline, parked on my property without my consent. What did the owner of the neighboring house have to say at that time? “I don’t understand? These are children of a very distinguished family in Stavelot.”
What I responded at the time, was: ” If the gasoline catches fire, my house, your house, and most in the neighborhood will burn to the ground, with or without their inhabitants.”
Fast forward to the present.
It’s quite simple. Here are a few salient points:
1. This alleyway is my property. I pay taxes on it each year. The City of Stavelot just received my payment for their Punitive Tax of 3240€, which is in addition the the “Précompte Immobilier” already paid.
2. The door at the entrance to the alleyway was ripped off and thrown away. No way to close off my property to access by the public since several months, and as I write this.
Who might have done that? I don’t know. Perhaps a renter, perhaps the individuals working at the house next door. This work was done without “Permis d’Urbanisme,” but the City doesn’t seem to care about that. I’ll leave everything that this work destroyed on my property for another article or two. It will take several articles so do stop by from time to time.
3. I called to get heating fuel delivered. The truck came by, but the driver could not get to the fuel tank’s pipe. This, because my property has once again been filled with trashcans, old tires, bicycles and other trash. He refused to move all the junk, which I thought correct. No heating fuel delivery. No heat. We’re still not in February, the coldest month in Stavelot during the past 20 years. And before I forget: Happy New Year once it arrives, and stay warm. And certainly warmer than at my house.
4. It’s not my place to tell a neighbor’s renters how to behave. I think this problem belongs to the owner. Attempts to discuss recent damages with that person have increasingly been futile. No useful action taken. No further responses. Radio silence.
5. One could simply say that his behaviour is being modelled on that of officials in the City Government.
6. For those of you who know quite well who is involved, could you encourage him to behave a bit more responsibly? Could you also let him know that this is not the end of this tale, since his responses to my outreach have been hit or miss?
7. Most say: “Just go to the Police!” Yes, I have done that in the past. Unfortunately, today is Saturday. Bureau de Police closed in Stavelot, closed in Malmedy, and after all, this is not an Emergency as long as the weather and the offered price for heating fuel don’t change too much. I will try to memorize the days and hours that the Police makes itself available to the public. Clealry, this is not Verviers, Liège or Bruxelles.
Thank you, dear reader, for your attention.
Stay tuned.
2ème Suivi - la ruelle Rue Haute
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Suivi : Samedi, 27 Octobre à 15h46
Confirmation obtenue que la ruelle est maintenant vide.
Merci aux propriétaires de ces engins d'avoir tenu promesse !
Praise the Lord, and Pass The Ammunition!
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Un Suivi de l' Infraction Avec Effraction
26 Octobre à 10h36
Voici un suivi sur ce sujet apparemment devenu le favori de toute une floppée de personnes ...
Pas encore lu l'article précédent? Le voici.
Visite au Bureau de Police à Stavelot ce matin :
- Dans l'entrée, j'ai parlé avec l'agent de police avec qui j'avais communiqué la dernière fois mercredi soir, à ce sujet.
- Notre entretien c'est fait "per fenestram," à travers la vitre du guichet à l'entrée. J'ai suggéré s'asseoir ensemble dans le Bureau pour mieux partager des nouveaux renseignements, mais cela n'a pas fait "tilt." Aucun problème.
- Elle m'a informé que le dossier en question ne lui appartenait pas, mais à son confrère qui n'était pas là. J'ai trouvé ce début un peu bizarre, puisqu'elle m'avait dit au téléphone mercredi soir qu'elle serait "au Bureau toute la journée vendredi" et que je pourrais y passer pour faire mes ajoutes à ce dossier. Aucun problème.
- Elle m'a alors demandé de lui fournir la marque des deux mobilettes (à présent je le supposais au moment de sa demande, encore dans la ruelle). Ma réponse : "Je ne saurais pas vous le dire, je n'ai pas accès à la ruelle pour voir son contenu de plus près. Mais, Ducati, Harley Davidson, Solex, ou Cyclos Peugeot 103, elles bloquent tout à fait le passage dans la ruelle. Mais, j'irai de suite après notre entretien, voir si avec la porte oouverte, je sais lire une marque, et vous la communiquer.
- Je lui ai fourni l'adresse de ce site, et de l’article précédent : Elle pourrait donc obtenir une mise à jour sur cette situation désagréable. Elle a répondu qu'elle irait voir la page Web. Cela semblait être un progrès.
- J'ai partagé à travers la vitre, d'autres renseignements importants, y compris ma promesse que tout serait dégagé dans les 24 heures.
- J'ai partagé que mon prochain arrêt serait chez B. Daelen, propriétaire de la maison voisine, pour partager ces mêmes renseignements avec lui également. Elle a répondu qu'elle avait eu l'intention de l'appeler et qu'elle le ferait immédiatement. "Si vous voulez," ai-je répondu.
- Elle m'a informé qu'elle avait parlé avec le propriétaire d'une des mobilettes.
- Ainsi fini notre conversation "per fenestram," et j'ai pris congé, la remerciant de ce suivi, le premier depuis le 30 septembre lorsque je suis passé au Bureau de Police pour mettre à jour mon dossier du 29 septembre.
Prochain arrêt: chez Bruno Daelen
- J'ai partagé que l'agent de police venait de me dire qu'elle allait lui téléphoner.
- J'ai partagé avec lui mes nouveaux renseignements importants dans le cas présent.
- J'ai partagé mes intentions de confirmer que la ruelle serait vide dans 24 heures.
- J'ai écouté avec soin, son explication qu'il était passé par sa propriété Rue Haute 6, "... aux moins 4 ou 5 fois, à toutes les heures, mais que la locataire n'avait jamais ouvert la porte, ... pas là peut-être ..., pour pouvoir lui parler, et comme promis pendant notre dernière conversation."
- Je l'ai invité d'aller faire un constat ensemble à l'instant. Il préférait essayer de faire ce constat à nouveau lui-même, mais plus tard dans la journée. Et on s'est souhaité une "Bonne Journée" mutuellement.
- J'ai repris mon chemin pour faire en solo, ce constat des faits présents dans la ruelle.
Prochain arrêt: Rue Haute, devant la porte de la ruelle.
- En ouvrant la porte, pas beaucoup de changement. Deux mobilettes, et bidon d'essence au sol.
- J'étais là pour voir, à la demande de ce jour de l'Agent de Police, si c'était possible de trouver la marque de ces mobilettes.
- Comme vu ci-dessous, l'impression partagé par B. Daelen "qu'ils ne sortent les motos que le dimanche," n'était pas une hypothèse viable. Sauf, bien sûr, si les motos ont pris l'habitude de se retourner spontanément. Cela doit représenter tout un défi pour une moto, dans cet espace très limité.
Position : Début de semaine
Abracadabra! ..., et Hop!
Position: ce matin, vendredi, 26 octobre
(Les tours de magie m'impressionnent toujours, et me laissent bloqué pour les comprendre.
Un peu comme cette mobilette bloque encore ce passsage).
Et en sortant en fermant la porte à clef ...
- J'ai eu plus de chance que B. Daelen pour contacter sa locataire.
- Par une fenêtre au premier étage, elle a commencé à crier dans ma direction, et pour dire rapidement :
- Qu'elle avait visionné toutes les informations sur ma page Web (j'ai été flatté d'avoir un nouveau visiteur sur notre site).
- Qu'il ne fallait pas "que je touche aux motos!" [ (J'en avais aucune intention, mais simplement pour faire un constat des lieux, y compris le renseignement demandé par la Police. (Mais elle n'écoutait déjà pas du tout dans notre conversation unidirectionnelle). ]
- Qu'elle allait me "poursuivre pour diffamation de caractère. "
- Avec ce contact obtenu vraiement sans effort apparemment terminé, je lui ai souhaité une bonne journée, et si j'ai bien entendu, elle m'a répondu de la même manière.
- Si B. Daelen n'a pas encore réussi à avoir contact avec sa locataire comme expliqué ci-dessus, la prochaine fois il devrait m'accompagner. Je n'ai même pas dû sonner.
Déjà en rue, faire ma dernière course ...
- Et celle-ci sur l'Esplanade, pour visiter "Les Vieilles Caves d'Artois." En entrant, j'y ai trouvé de suite une ambiance chaleureuse. Une belle amélioration depuis que Magali et Claudio l'ont repris pour devenir propriétaires. Un bonjour à une connaissance, mais pas de temps pour prendre l'apéro que certains avait déjà bien entammé.
- J'ai eu la chance de tombé devant un des propriétaires des mobilettes en question. Il était placé derrière le bar de cet établissement. Je lui ai dit que les motos seraient parties dans 24 heures.
- Il semblait comprendre ma demande de suite. Sa réponse était : "Oui, oui. Je vais les enlever cet après-midi après quand j'aurai fini de travailler." J'ai indiqué d'un signe de tête que j'avais compris ce qu'il venait de dire.
- En sortant, quelques mots avec un des riverains, sur la Chorale "l'Alliance" à Francorchamps ("... n'existe plus..., à l'abandon..., trop de travail pour le directeur.") J'ai confirmé que cela avait été beaucoup de travail pour moi aussi, mais toujours un travail de plaisir. "Santé."
Dernier arrêt à la Maison de Ville ...
- pour partager quelques informations, et mes courses du matin étaient faites!
Si mes cours de droit sont bien rappelés, "diffamation de caractère" reste beaucoup plus facile à soutenir quand les faits sont faux, que quand ils sont vrais, témoignés, attestés, et incontestables.
Je serai assez heureux quand demain viendra et j'aurai enfin accès à la ruelle, pour y faire le nécessaire.
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Suivi : Samedi, 27 Octobre à 15h46
Confirmation obtenue que la ruelle est maintenant vide.
Merci!
Praise the Lord, and Pass The Ammunition!
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Commentaires? Toujours un plaisir de vous lire.
Infraction Avec Effraction
Si vous connaissez le mot de passe, saisissez-le ci-dessous :